Christian Ménigoz

Bénévole

Que représentent Les Petites Fugues pour vous ?

Facile, mais vrai ressenti : chaque rencontre fut pour moi une évasion grande ouverte vers la littérature dans tous ses aspects.
Le contact avec vous organisatrices-teurs, la rencontre des auteurs et les discussions ouvertes vivifiantes entre les bibliothécaires et leurs équipes. Avant de vous connaître "Les petites fugues" était un film que j'avais apprécié (1980) au cinéma Le Styx rue Battant, un vieux monsieur commis de ferme qui rêve de voir le Cervin et semble indifférent et déçu quand il peut assouvir ce rêve à bord d'un hélicoptère. Je n'avais pas le rêve de côtoyer des auteurs, de m'immerger dans la littérature, le festival m'a apporté des moments inoubliables de partage. Merci.

Quel est votre meilleur souvenir du festival ?

Je n'ai pas de meilleur souvenir, et dans cette ambiance du festival j'ai été porté, rassasié, et toujours avide d'un nouveau moment de partage.  Le spectacle « Intermezzo » fut un réel bonheur.

Une rencontre avec un auteur, un livre, qui vous a marqué ?

Oui les rencontres ne furent jamais des "écrits vains", et en relisant ou écoutant les auteures-eurs que j'ai accompagnés je ne peux choisir. Wilfried N'Sondé, Ahmed Kalouaz en 2018, Sonia Ristić, Anne Bourrel, Anne Collongues, Makenzy Orcel.
Allez tout de même, ce que j'ai lu d'Ahmed Kalouaz m'a levé un poil de plus : Avec tes mains, en 2009, en hommage à son père et Une Étoile aux cheveux noirs, en 2011, en hommage à sa mère.